Sweet afternoon... or not ♠ Libre

Dans son petit appartement, alloué par l'université à l'intégralité des élèves en ayant besoin suite à l'arrivée dans cette étrange ville, Erica s'est installée dans le canapé pour regarder la télévision, l'esprit un peu perdu dans le vague alors qu'elle regarde les images, plus qu'elle n'écoute vraiment le poste. Décidant que ça ne sert à rien pour se détendre, la rousse éteint l'écran, se lève pour rejoindre la cuisine où elle prépare un thé. Ce dernier, rapidement, prend place sur le bord de la baignoire et elle se fait couler un bain, où elle plonge une bombe dans les tons de bleu, pour la mousse, l'odeur ainsi que la couleur.

Plongée dans son bain, la rousse oublie le temps qui passe, bouquinant un peu, remettant de l'eau chaude. Elle remercie le ciel d'avoir eu un appartement avec une baignoire, ce qui n'est pas donné à tout le monde. Pourtant, au bout de deux heures elle finit par se décider à sortir de l'eau. Emmitouflée dans un peignoir par-dessus sa tenue décontractée, elle retourne en cuisine se faire un thé, quand on toque à la porte. Curieuse, elle ouvre et regarde le visiteur.

"- Oui ? Je peut vous aider ?" propose-t-elle gentiment.

Cette ville. c'est humains. Moi je ne peux vivre ainsi. Toujours besoin de bougé d'action, de plans d'ennemie à combattre. Clara m'a retrouvée et on a réussi à savoir pourquoi j'ai été aveuglée. Bon sang je déteste ne pas savoir. Cela fait quelques jours déjà que je bouquine, que je multiplie les équations sur les tableaux noirs dans le Tardis. Rien. Je ne trouve pas de solution. Que dois-je faire ? Qui dois-je aider pour repartir d'ici avec Clara. Profitant d'un moment je décide de scanner la ville avec mes lunettes Soniques que j'ai réussi à réparer. Je n'avais rien à faire je ne suis pas un humain moi j'ai deux cœurs il faut toujours que je m'occupe les mains et les pensés. Ainsi donc quelque chose de bizarre se trame dans cette ville. Donc je décide comme je l'avais fait jadis dans l'école de Clara de reprendre mon rôle du gardien et d'enquêtée par la résidence des étudiants. Ces humains ils n'apprendront jamais à étudier correctement. Donc grâce à mon tournevis Sonique j'ai hypnotisé le gardien lui faisant miroiter un joli rêve. Il était malade et incapable de bouger. Ainsi donc je ressors ma veste et ma fidèle serpillière. Je marche dans les couloirs parfait aucun humain en vue personne ne me vois, ni m'observe , je scan les alentours. Les flux qui émanent de cet endroit sont étranges. Donc je continue a avancé vers je ne sais ou. Quand je vois une porte. Surement y'a une pauvre âme derrière que je peux questionné. Je toque a la porte. " Bonsoir je suis le nouveau gardien John Smith , ou le Doctor si vous préférée. Je me demandais si vous avez vu des choses bizarre dans cette endroit récemment "

En ouvrant la porte, Erica est clairement surprise. Elle ne s'attendait pas à avoir de la visite et elle ne s'attendait pas non plus à tomber sur un parfait inconnu, apparemment nouveau gardien dans la résidence universitaire. Fort bien. La jeune femme, contrairement à ses amis, n'a jamais regardé la série docteur Who. Alors quand il parle de John Smith ou de docteur, elle ne fait pas le rapprochement. Elle regarde simplement cet homme aux cheveux blancs, qu'elle n'a jamais vu, sans savoir si elle peu lui faire confiance ou pas. Les hommes, elle ne les craint plus autant qu'autrefois c'est vrai. Elle ne redoute plus leurs gestes et leurs pensées, elle est plus courageuse maintenant. Mais ça ne l'empêche pas, parfois, de se poser des questions. Elle regarde le voyageur maître du temps, le coeur battant.

"- Je n'ai pas vu grand-chose de spécial mais je ne suis pas arrivé en ville depuis longtemps Monsieur Smith et je dois bien avouer que tout est très étrange, à mes yeux. Je veux dire... Des sorciers, des personnages de série, que je regardais autrefois à la télévision et qui maintenant prennent vie devant moi... Tout cela est en soit déjà très bizarre. Alors qu'est-ce que vous cherchez exactement ?"

La porte en bois s'ouvre. Laissant apparaître une jeune femme aux cheveux roux, plus jeune qu'Amy Pond. Je culpabilise toujours de sa mort cette femme, avant ma régénération à Trenzalore je l'avais vu que brièvement avant de me régénérer en changeant de visage, de corps et après avoir récupéré mes souvenirs je suis revenu voir Clara après trois semaines ou je me rappelle que brièvement de ce que j'avais fait, en choisissant ma nouvelle tenue qui ressemble à un magicien. Donc je la regarde et la détaille. Une tenue décontractée est un peignoir par-dessus. Apparemment elle était en train de s'adonner à une tache des humains, je l'ai interrompue tant mieux alors. Je lis dans ces yeux l'inquiétude si elle peut me faire confiance ou pas. C'est un sentiment tout à fait normale, pleins de gens que je sauve ont ses sentiments au début puis finissent par vouloir voyager avec moi. J’écoute ensuite très attentivement ces paroles. Des personnages qui prennent vie, des sorciers,elle aussi venais d'arrivé tout comme nous moi et Clara. Fort bien intéressant tout ceci. " Appelez-moi juste Le docteur. Hum qu'elle est votre prénom . Quelle est la dernière chose que votre esprit ou cerveau se rappelle-t-il avant de se réveiller ici ? Car moi aussi je n'appartiens pas à ce monde pour tout vous dire "

La jeune femme observe cette personne qu’elle ne connaît pas et un tas de questions se bouculent alors dans sa tête, comme elle ne sait pas si elle peut lui faire confiance. Dans sa vie, avant d’arriver ici, elle a lu beaucoup. Beaucoup d’histoire de jeunes femmes, entre-autre, qui se font enlever par des hommes gentils, en apparences, qui les entraînent dans les tréfonds d’une pièce sombre pour les y torturer. Alors quand elle voit cet homme devant elle, elle qui manque toujours un peu de confiance de prime abord, elle se méfie un peu. C’est compliqué, avec elle. Autant elle peut aller vers les autres et s’amuser en soirée, autant elle peu se montrer l’instant d’après craintive et sur la réserve.

«- Je m’appelle Erica. Erica Andersson. Et la dernière chose dont je me souviens avant mon arrivée ici, c’est que j’étais attablée, en train d’écrire mon second roman. Je suis auteur. » explique-t-elle sans se vanter et sans donner le titre de l’œuvre, se contentant de répondre à la question qu’il lui pose.

C'est très bizarre tandis que je regarde ces yeux, je repense à Amy pond. Mais les yeux de cette jeune femme me parlent. pas besoin qu'elle utilise sa bouche, ces yeux me racontent son histoire. Elle est un peu unique, elle se méfie et essaye de s'intégrer. C'est vrai que les autres humains ont parfois des réactions un peu abusif. Des âmes si égarées si maladives, qui pensent être seule dans la galaxie, toujours à conquérir et faire la guerre entre eux, qui croient que seul leur religion compte, alors qu'il y a tant et tant de chose dans la galaxie qu'ils ne peuvent s'avoirs. Je l'écoute au son de sa voix on dirait qu'elle se méfie de moi. C'est vrai qu'avec cet accoutrement et mon apparence actuelle c'est difficile de me faire confiance au début. " Fort intéressant tout ceci. Moi aussi j'aime écrire. Vous deviez être connue dans votre monde. Pour tout vous dire je ne suis pas de ce monde non plus , puis-je entrée, je ne vous veux aucun mal "

«- Un petit succès dont je n’ai pas à me plaindre. » répond modestement la jeune femme.

Elle le regarde, en se demandant pourquoi il reste encore là à lui parler, sur le pas de la porte de sa résidence universitaire. Il doit avoir autre chose à lui demander, elle le sent. Le tout est de savoir quoi, évidemment. Elle le regarde, essaie de sourire. Que lui veux-t-il ? A-t-il besoin d’autre chose ? Par politesse, elle devrait l’inviter à entrer dans la pièce mais… Non, pas encore du moins. Le temps de se faire un avis. Mais il demande à entrer.

«- Seulement je ne vous connais pas…» Fait-elle remarquer. «Et j’imagine que c’est de cette façon, en disant «je ne vous veux aucun mal» que tout les meurtriers appâtent leur victime. Mais enfin, soit, entrez donc.»

Lui montrant un minuscule fauteuil, elle l’invite à entrer. Ce n’est pas bien grand, c’est un simple appartement étudiant après tout, il ne faut pas s’attendre à un palais.

«- Je vous offre à boire ? Quoi donc ?»