Vous vous rendez compte du potentiel de danger qu'a cette baguette ? (avec Gold)

03/09/2016

Minerva se promenait dans la ville, qu’elle devrait, dorénavant, apprendre à connaître, car elle allait y vivre pendant un temps, que pour le moment, elle ignorait complètement. Alors pour apprendre à connaître, ou enfin plutôt essayer d’apprendre à connaître, l’entourage qui l’entourait, en regardant, par exemple, les différentes boutiques, les différents commerces, les différents bars, restaurants…, de cette petite bourgade.

Alors qu’elle regardait, sans vraiment faire attention, les vitrines des différentes choppes de la principale rue, du quartier Fantastique, son œil droit, ou peut-être la gauche, mais au pire, on s’en moque, fut attiré par un article mis en vitrine. La baguette de Merlin ! Elle n’arrivait pas à y croire ! Vous vous rendez compte, la baguette de Merlin ! Bien évidemment, elle savait à quoi ressemblait cette vieille relique, l’ayant vu dans son livre d’Histoire de la Magie, étant élève à Poudlard.

Tout de suite, ses pas furent guidés en direction de la porte de l’entrée de la boutique d’antiquités. Elle devait acheter cette baguette, pas pour elle, sa propre baguette en bois de sapin avec une ventricule de dragon lui avait été fidèle durant une cinquantaine d’années et lui convenait parfaitement. Mais elle devait l’acheter, et elle était certaine que Albus Dumbledore penserait comme elle, pour éviter que cette relique, car on pourrait parfaitement appeler une relique, tombe entre de mauvaises mains.

Elle rentra dans la boutique d’antiquités et se planta devant le vendeur. Elle se moquait du prix qu’allait lui proposer le vendeur, qui a sa tête n’inspirait pas vraiment, même pas du tout, confiance. Mais elle n’allait pas se laisser arnaquer, ah là, loin de là, elle ne s’appelait pas Minerva McGonagall pour rien. Elle n’était pas du genre à se laisser tromper, berner ou autre adjectif du même sens.

« Bonjour, je viens vous voir, car je serais intéressée pour vous acheter un article. »

16/10/2016

Gold se leva de très bonne heure ce matin là comme il le faisait depuis toujours. Il était loin d'être l'heure d'ouvrir la boutique lorsqu'il arriva au magasin, mais il avait tant de choses à faire. Par exemple, le tris de nombreux objets s'étant perdus et qui sont soudain apparus comme ça. Donc, il triait les choses qui lui semblaient intéressants ou non. Principalement celles qui seraient utiles pour faire du chantage ou à revendre à un énorme prix. Peut importe où il se trouvait, Gold restait le même: malhonnête. Oui, Belle l'avait bien changé et aujourd'hui, il n'agissait plus tel le méchant qu'il était, mai on ne change pas tout à fait un homme.

Crayon, feuille de parchemin, une boite de... Bertie crochue? Tout cela va à la poubelle! Rumple ne garde que l'utile, le cher et le précieux. Comme ce truc en or qui ressemble à un sablier. Juste à le regarder et à sentir son pouvoir, il sait qu'il pourrait être bien utile, alors, il le met sur une tablette. Le second objet est comme une planche à roulette rose... sans roue. Il allait a jetée avant de sentir le passer de l'objet. Elle semblait abriter beaucoup de souvenir... Il la pose contre un mur et poursuit ses recherches. Soudain, il tombe sur un bout de bâton. Il sait que cet objet est bien plus complexe qu'il n'y parait. Il peut sentir le pouvoir entre ses doigts, puis il se rappel de l'objet pour l'avoir vu dans un livre. La baguette de Merlin... Après son chapeau, elle restait sa possession la plus puissante que le monde magique ai pu connaitre. Il hésita un moment, la gardant dans sa main et soupesant son poids. Elle pouvait être utile. Il serait, alors, le sorcier le plus puissant de cette étrange ville. Même ce fameux Voldemort dont parlaient ces étranges sorciers ne ferait pas le poids. Soudain, il entend la petite voix de Belle dans sa tête. Elle lui demandait de ne pas le faire. Pour elle. Il fait un geste pour la ranger dans son veston, mais fini par la poser dans la vitrine. Il la vendrait au plus offrant...

Le temps passe et il finit son ménage dans ses boites. Il se poste devant sa caisse et il ouvre. Pas moins de cinq minutes plus tard, une dame se présente devant sa boutique, regarde un objet à l'intérieur. Elle semble perturbée et elle entre, le regardant sans crainte.

- J'ai vue votre regard, madame. J'ai comme l,impression que c'et la baguette de Merlin qui vous intéresse... Non?

03/09/2016

Alors que d’autres, en voyant la baguette de Merlin, auraient tout de suite fait l’achat de cette baguette afin de devenir un sorcier puissant, Minerva ne voulait l’acheter que pour éviter, que justemenent, cette scène arrive. Un seule Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom suffisait. La baguette de Sureau, si on l’en croyait les légendes, était la plus puissante baguette que le monde sorcier avait vu, mais la professeure de Métamorphose ne savait quoi penser, croire en les légendes, surtout venant du conte de Beedle le Barde, qui comme c’était indiqué dans le titre, n’étaient que des contes, donc une très grande part d’imaginaire, ne faisait pas vraiment partie de sa mentalité. Elle était plutôt terre-à-terre. Mais bon, même si elle n’était peut-être pas réputée pour être la baguette la plus puissante, elle avait appartenu à Merlin, qui lui, par contre, que cela soit dans les contes, ou dans les livres d’Histoire de la Magie, source plus sûre pour la directrice adjointe de l’Ecole de Sorcellerie de Poudlard, était le sorcier le plus puissant. Tout le monde s’accordait pour dire la même chose. Cela voulait donc dire que c’était la vérité, à part si tout le monde avait faux… Mais bon, il fallait le faire quand même.

Minerva rentra donc dans la boutique, dans le but de la récupérer afin de protéger le monde. Il ne faudrait pas qu’elle tombe entre de mauvaises mains… Le vendeur, qui n’inspirait pas du tout confiance à la respectée femme, mais en même temps, elle était de nature méfiante, avait du voir le regard de la professeure sur l’article qui l’intéressait, car il le devina. Pas la peine d’aller par quatre chemins. Mais cela arrangeait la sorcière. Cela ne pourrait que être plus rapide. Enfin elle l’espérait.

- En effet, vous avez raison. C’est la baguette de Merlin qui m’intéresse. Je suppose que vous n’allez pas la donner au premier venu et que vous ne la vendrez qu’au plus offrant ? Combien voulez-vous la vendre ?

Minerva n’était pas vraiment réputée pour son tact et elle préférait de loin aller droit au but, plutôt que de contourner sans cesse son objectif. Mais bon, il ne fallait pas se mentir, on y gagnait un temps fou. C’est moins douloureux d’arracher un pansement d’un coup, plutôt de le faire petit à petit.

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